LA FEMME QUI NE VIEILLISSAIT PAS
Présentation de l'éditeur:« À quarante-sept ans, je n’avais toujours aucune ride du lion, du front, aucune patte d’oie ni ride du sillon nasogénien, d’amertume ou du décolleté; aucun cheveu blanc, aucune cerne; j’avais trente ans, désespérément. ». Il y a celle qui ne vieillira pas, car elle a été emportée trop tôt. Celle qui prend de l’âge sans s’en soucier, parce qu’elle a d’autres problèmes. Celle qui cherche à paraître plus jeune pour garder son mari, et qui finit par tout perdre. Et puis, il y a Betty.
Et alors?: Bien que j'aime beaucoup cet auteur, cet ouvrage ne m'a pas pleinement convaincu. Pourtant le sujet était prometteur, comme une ode à la veillesse balayant l'éternelle recherche de jeunesse. Le style dans ce roman de Delacourt ne m'a pas vraiment plu non plus, trop cru, cela manque de tendresse et de subtilité. Un moyen bof pour moi donc.